mercredi, novembre 11, 2009
dimanche, novembre 01, 2009
Puissances dans le col du Coq
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Libellés : Route
jeudi, octobre 22, 2009
Dernières grimpées
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Libellés : Grimpée chronométrée
dimanche, octobre 11, 2009
17mn24@355 watts vers St Julien de Ratz
Chronologie d'un pari
-7 secondes grâce à l'utilisation du prolongateur
-12 secondes grâce à un allègement du poids total d'environ 1600 grammes
-63 secondes grâce à une progression de 20W sur la puissance moyenne développée et/ou une meilleure gestion des allures sur les différents segments et/ou un vent différent
Si ces calculs avaient été faits avant l'épreuve, le pari du prolongateur aurait peut être été abandonné. Néanmoins, ces 7 secondes représentent l'équivalent, en temps, du poids d'un grand bidon plein. Quel coureur aurait osé le laisser sur son cadre avant de partir?
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Libellés : Grimpée chronométrée
dimanche, octobre 04, 2009
23mn@342 watts vers Montaud
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Libellés : Grimpée chronométrée
mercredi, septembre 30, 2009
Tracés
Ainsi ce morceau de route était utilisé jusqu'à présent pour tester ma puissance anaérobie sur 1 minute. Au fil des ans, il est devenu trop court, me permettant uniquement d'y imprimer un effort d'environ 45 secondes. Obsolète donc pour un CP1, mais il a été possible aujourd'hui de le recycler. Au cours d'une sortie cet été, j'ai remarqué qu'il permet d'effectuer 1 minute d'effort à environ 150% FTP ce qui est parfait pour pratiquer une séance L6 de 10*1mn entrecoupée de 3 minutes de récupération. Cette montée est fait d'un bitume en très bon état avec une pente assez constante, le départ se prenant lancé ce qui évite de fournir une accélération coûteuse en énergie, et le final, un brin plus raide, qui oblige à finir en danseuse ou tout au moins en force, jusqu'à ce panneau stop, qui fait office de signal optique de fin. Au sommet de ce bout de route, le faux plat qui suit assure une récupération incomplète pendant plusieurs dizaines de secondes, permettant encore de durcir l'exercice afin de reproduire idéalement un scénario de course, lorsque l'échappée potentielle nait, non pas dans la montée, mais juste après, sur le replat, lorsque le peloton récupère. En outre, 3 chemins possibles (en vert sur la carte) permettent de revenir au point de départ et réduire la période de récupération ad libitum. Non rien à dire, tracé parfait.
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Libellés : Entrainement
dimanche, septembre 27, 2009
330 watts vers le Luitel
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Libellés : Grimpée chronométrée
dimanche, septembre 20, 2009
321 watts vers le Granier
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Libellés : Grimpée chronométrée
samedi, septembre 19, 2009
311 watts vers St-Nizier
Un maléfice issu de la Tour-sans-Venin? Non simplement un départ trop rapide. Les relances dans le dernier kilomètre sont désespérées et ne confirment que la vérité qui peu à peu est apparue dans ces longues lignes droites vers St-Nizier du Moucherotte. Le verdict du capteur de puissance (graphe ci dessus) est clair et sans appel: il souligne ma vanité du début de montée, avec une confiance folle accordée aux sensations initiales, en particulier sur l'absence de douleurs aux jambes. S'il n'est pas judicieux de suivre aveuglément les chiffres par rapport aux signaux du corps, dans certains circonstances, comme ici, le contraire est formidablement vrai. Certaines données physiologiques sont implacables et ramènent à un moment ou un autre le cycliste à ses limites. Et toute erreur se paie: la 3ème place du podium de ma catégorie est à 7 secondes (22ème/89). Les 5 watts au bas mot, perdus via cette mauvaise gestion de l'effort, équivalent à une trentaine de secondes sur cette grimpée... Il n'est pas certain que d'autres occasions d'ici la fin de saison se représentent pour atteindre l'objectif fixé.
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Libellés : Grimpée chronométrée
dimanche, septembre 13, 2009
12ème et dernière course de la saison
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Libellés : Course
dimanche, septembre 06, 2009
372 watts vers le Fort de la Bastille
Première manche, passage au dernier virage
Le coup de cœur de l'an passé, alors que j'étais spectateur de cette épreuve s'est confirmé. Une très belle journée, vraiment.
Deuxième manche, passage au dernier virage
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Libellés : Grimpée chronométrée
samedi, septembre 05, 2009
319 watts vers le Fort du St-Eynard
Ma cadence de pédalage était nettement plus élevée cette année. Il s'avère que dans un peloton en course, elle s'adapte naturellement vers plus de vélocité, afin de répondre aux variations de rythme des autres concurrents. Les puissances développées (moyenne de 319W, normalisée de 323W) sur 46mn constituent 2 nouveaux records sur cette durée mais ne correspondent finalement qu'à une FTP d'environ 310W, valeur vraisemblablement déjà atteinte en 2009 et par le passé.
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Libellés : Grimpée chronométrée
jeudi, septembre 03, 2009
Concurrence
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Libellés : Réflexions
mercredi, septembre 02, 2009
11ème course de la saison
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Libellés : Course
mardi, juillet 14, 2009
10ème course de la saison
Kilomètre 4. Crevaison.
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Libellés : Course
samedi, juillet 04, 2009
9ème course de la saison
Au sommet, bascule immédiate dans la longue descente. Dans les premiers kilomètres celle ci est rapide mais bosselée. Dans la ligne droite qui suit le Lautaret, je m'arrête par envie de me décontracter et de m'étirer, encore dubitatif sur cette fin d'épreuve, tout en guettant du coin de l'œil ce groupe qui se rapproche... A son passage, c'est reparti prestissimo dans cette descente où il faut souvent pédaler, relancer au cours de plusieurs petites montées, se restaurer, boire, bref, se préparer au final qui approche rapidement.
Dans ce début de montée de l'Alpe d'Huez, je m'astreins à appuyer juste ce qu'il faut pour que le vélo avance et ne tombe pas, il est alors si facile de passer dans un état de surchauffe... Le 34*28 est alors juste suffisant, mes compagnons sont alors partis comme des fusées à mes yeux, et j'espère en rattraper quelques uns plus loin, une fois avoir trouvé un certain équilibre dans l'effort à produire. Mais il me faut auparavant m'arrêter une 3ème fois depuis le début de l'épreuve (total des arrêts 3 minutes), pour remplir d'eau encore 2 bidons. Comme prévu le rythme augmente peu à peu, une fois que la pente s'adoucit. A 3 kilomètres de la station, je décide enfin d'accélérer franchement et finis assez bien, sans l'impression de m'être véritablement donné à fond dans la montée, en doublant encore 2 ou 3 adversaires. Une des leçons que je retiens de la journée est ma difficulté, lorsque je me retrouve seul, à maintenir un rythme comparable à celui que j'arrive à tenir dans un groupe. Comme si la prudence m'incitait plus ou moins consciemment à maintenir une allure régulière, en dedans, dans l'attente d'un retour par l'arrière. Et paradoxalement, le capteur de puissance ne m'est alors d'aucune aide, car outre l'aspect démotivant des chiffres forcément toujours plus faibles que ceux escomptés, il est difficile de se fixer une valeur de puissance moyenne à respecter, car généralement je la surestime. C'est vraiment la perception de l'effort (le rythme de ma respiration) et, surtout son évolution potentielle lors de la durée restante de montée, qui me sert de guide à ce moment là. En 7h05mn19s, je finis 129ème/5295, 30ème de la catégorie.
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Libellés : Course
vendredi, juillet 03, 2009
dimanche, juin 28, 2009
8ème course de la saison
Mais ce groupe est composé d'éléments hétéroclites, certains sont meilleurs descendeurs que grimpeurs et inversement. La cohésion n'est jamais présente dans les parties montantes et descendantes, et c'est avec une réelle surprise que nous finissons néanmoins par apercevoir le deuxième groupe devant nous à quelques centaines de mètres, dans les prémisses du col d'Ornon. Peine perdue, nous revenons à 200 mètres pas plus, mais lorsque la pente se cabre un peu plus à quelques kilomètres du sommet, l'écart se creuse irrémédiablement à nouveau. Notre groupe se disloque alors complètement, deux s'en vont dans la descente, nous formons un trio sur le plat derrière et la séparation avec le petit parcours finit encore d'amaigrir ces petits paquets qui abordent la montée de Villard Reculas avec retenue. Peu à peu, notre trio grossit, rattrapant des coureurs, et en étant lui même rejoint par d'autres. Est ce une illusion? L'allure lors de ces moments là, semble fléchir, comme le signe silencieux d'une satisfaction, empreinte de consentement réciproque, celle de se retrouver un peu plus nombreux.
Mais de nouveau, la chaleur va à nouveau séparer ceux qui continuent visant le ravitaillement de l'Alpe d'Huez et ceux, misant sur l'immédiat comme moi, qui remplissent leurs bidons. Et à nouveau l'isolement, avec 2 ou 3 compagnons sur les pentes surchauffées menant vers la station de l'Oisans. Dans Sarenne, je découvre que parfois involontairement ou inconsciemment, j'adopte une allure en dedans quand je me retrouve seul. Il suffit que quelqu'un me double pour que aussitôt, comme soumis à une décharge électrique, je me réveille et accélère, arrivant à suivre, ce qui révèle que l'allure précédente était trop faible. Car il est vrai que j'utilise de moins en moins les chiffres du capteur de puissance (plus souvent démoralisants) pour guider mon allure en course, préférant me fier aux sensations (surtout respiratoires). La descente de ce col magnifique est malheureusement délicate à négocier avec des trous partout et des gués à franchir à plusieurs reprises. Dès le début de course, je m'étais promis de laisser filer à cet endroit de la course, ce que je fais sans regrets.
Rejoint par un compagnon d'infortune de la première heure, plus rapide que moi en descente, nous roulons de concert jusque dans la vallée, et là rejoins par un groupe emmené par un cycliste hors course qui prépare la Marmotte, nous filons à vive allure (ce n'est pas très fair play de profiter de cette locomotive, mais sur le moment, personne n'y songe guère) vers le pied de Vaujany, montée que je gère bien, malgré la chaleur (29°C) en accélérant très progressivement. J'ai déjà en tête la montée de l'Alpe d'Huez, où avec une bonne gestion de l'effort et un braquet de 34*28, il sera possible de se faire plaisir malgré un dénivelée encore plus important et la chaleur, surement présente. 30ème/249, 7ème de la catégorie.
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Libellés : Course
dimanche, juin 21, 2009
7ème course de la saison
-récupération planifiée les jours avant course (TSB +8)
-température extérieure moyenne de 15-20°C favorable pour moi
-stockage de glycogène important durant les 72 heures précédents
-alimentation en cours d'effort régulière et importante: un total de près de 450g de glucide a été consommé, réparti en 300g depuis les bidons et 150g venant de 7 barres et 3 gels, soit environ 75g/heure de course, ce qui est dans la zone du maximum assimilable par l'organisme. L'impression de sucre en bouche était limite et c'est un point perfectible sur une course plus longue.
A l'issue de cette édition où tout s'est donc parfaitement déroulé, il m'est difficile de cerner encore d'importants potentiels d'amélioration. En observant les puissances développés, il apparaît premièrement que ce type de course en montagne (4100m de dénivelée) ne se joue pas sur des montées courtes (NP5=327W soit 20 à 40W en dessous des courses du printemps). Deuxièmement, lors des 4 premiers cols, l'intensité d'effort IF fut de 1 en moyenne (toutefois, la FTP est peut être sous estimée en ce moment de 5W) sur respectivement 46, 24, 13 et 12 minutes, soit un total de 95 minutes. Ensuite, IF a baissé à 0.85-0.9 puis 0.8 en fin de course. 1h30 est bien l'ordre de grandeur, à l'entrainement, du temps total que je peux accumuler en plusieurs segments à allure FTP. Une des différences provient, toutefois, de l'index de variabilité, qui est plus important en course.
Publié par bugno à 20:00 18 commentaires
Libellés : Course