Direction le Vercors par la montée de Sassenage et les gorges du Furon. Intensité modérée en zone 4 basse aux alentours de 250-260 watts, la température est fraiche à Grenoble mais dans la montée, l'effort aidant, je ne m'aperçois pas encore qu'il a gelé sur le plateau du Vercors après une nuit sans nuage. Dans les gorges, un coup d'oeil sur le Polar 710: -2°C, à vrai dire c'est la première fois que je vois des températures négatives sur la montre... Demi tour pour sortir du piège, alors qu'une virée sur la Croix Perrin et Herbouilly était prévue. Dans la descente par Saint-Nizier, la température est remontée à 10°C mais le corps commence à peine à réagir: grelotements à en perdre presque le contrôle du vélo. Dans la vallée où je me résous à rouler au soleil sans forcer, au bout de 4 heures, une tendinite apparait au genou gauche et je rentre au ralentis. A vrai dire, je paie le fait d'avoir oublié, le principe de progressivité dans l'entrainement, qui est très important. Ma plus longue sortie étant jusqu'à présent de 3h30, passer à 5 heures était une hérésie. Le corps l'a juste rappelé avec véhémence.
Direction le Vercors par la montée de Sassenage et les gorges du Furon. Intensité modérée en zone 4 basse aux alentours de 250-260 watts, la température est fraiche à Grenoble mais dans la montée, l'effort aidant, je ne m'aperçois pas encore qu'il a gelé sur le plateau du Vercors après une nuit sans nuage. Dans les gorges, un coup d'oeil sur le Polar 710: -2°C, à vrai dire c'est la première fois que je vois des températures négatives sur la montre... Demi tour pour sortir du piège, alors qu'une virée sur la Croix Perrin et Herbouilly était prévue. Dans la descente par Saint-Nizier, la température est remontée à 10°C mais le corps commence à peine à réagir: grelotements à en perdre presque le contrôle du vélo. Dans la vallée où je me résous à rouler au soleil sans forcer, au bout de 4 heures, une tendinite apparait au genou gauche et je rentre au ralentis. A vrai dire, je paie le fait d'avoir oublié, le principe de progressivité dans l'entrainement, qui est très important. Ma plus longue sortie étant jusqu'à présent de 3h30, passer à 5 heures était une hérésie. Le corps l'a juste rappelé avec véhémence.
1 commentaire:
Tout à fait Thierry!
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